En marge d’un atelier de proclamation des résultats médias sur la planification familiale, le ministère de la sante publique et de la lutte contre le sida dresse le bilan de prévalence contraceptive chez les femmes en union faible.
Le Directeur du programme national de la santé de la reproduction, Ananie Ndacayisaba indique que le résultat de dernier enquête démographique et de santé de 2016_2017 montre que le taux de prévalence contraceptive chez les femmes en union était de 29%. Cette autorité invite les couples de faire la planification familiale qui constitue un levier dans la réduction de la mortalité maternelle et favorise le bien être des familles. « La contraception permet aux couples de faire des choix éclairés sur leur santé reproductive pour contribuer au développement économique et sociale du pays », ajoute-il.
Ndacayisaba invite les partenaires techniques et financiers comme le fond des nations unies pour la population ( FNUAP), le gouvernement, les médias et la société civile de s’unir comme un seul homme pour garantir à chaque femme, chaque couple et chaque famille des services de santé sexuelle et reproductive de qualité.
Sous l’égide du ministère en charge de la santé publique en partenariat avec le fond des nations unies pour la santé de la population (FNUAP), cet atelier a été clôturé par la remise des prix des heureux gagnants du « concours médias » sur la santé de la reproduction.
Norbert Rucabihari